
La présence de rongeurs dans un logement, qu’il s’agisse d’une maison ou d’un immeuble, n’est pas seulement une nuisance : elle représente un véritable risque pour la santé publique. Dans ce contexte, une question revient fréquemment : qui est responsable de la dératisation, le locataire ou le propriétaire ? Cette interrogation soulève des enjeux juridiques et pratiques, notamment en matière d’hygiène, de sécurité et d’entretien des bâtiments.
La réglementation française encadre précisément les obligations de chacun en matière de salubrité et de lutte contre les nuisibles. En tant que spécialiste de la dératisation à Paris et en Île-de-France, PARIS’GIENE intervient auprès des particuliers, des bailleurs et des syndics pour traiter efficacement les infestations de rats et souris. Notre approche repose sur une parfaite connaissance des obligations légales et sur une expertise technique rigoureuse.
Dans cet article, nous allons clarifier les responsabilités respectives du locataire et du propriétaire selon les cas de figure les plus courants.
Ce que dit la loi sur la dératisation des logements
Les obligations légales en matière de dératisation
En France, la loi impose une obligation générale de salubrité des logements, encadrée notamment par le Code de la santé publique. Celui-ci stipule que toute habitation doit être maintenue dans un état ne représentant pas un danger pour la santé de ses occupants ou du voisinage. La dératisation entre donc dans le cadre de cette exigence, particulièrement dans les zones urbaines où les rongeurs prolifèrent rapidement.
Les arrêtés municipaux, comme ceux en vigueur à Paris, peuvent également imposer des actions régulières de dératisation, notamment dans les immeubles collectifs. Ainsi, la réglementation prévoit que toute personne, physique ou morale, est tenue de prévenir ou de faire cesser la présence de rongeurs, selon sa responsabilité dans l’usage ou la gestion du bien.
Dératisation : une responsabilité partagée selon la situation
La responsabilité de la dératisation varie en fonction de l’origine du problème et de la nature du logement. En règle générale, le propriétaire est responsable de la salubrité structurelle du bâtiment, tandis que le locataire doit veiller à l’entretien courant. Cette distinction légale est essentielle pour déterminer qui doit initier et financer une intervention de dératisation.

Cas où la dératisation est à la charge du propriétaire
Lorsque l’infestation est liée à la structure ou à l’immeuble
Le propriétaire, qu’il soit bailleur individuel ou syndic de copropriété, est responsable de fournir un logement décent et sain à ses occupants. Si une infestation de rats ou de souris résulte d’une faille dans la structure du bâtiment (tuyauterie défectueuse, fissures, caves mal entretenues…), c’est à lui qu’incombe la mise en place d’un traitement de dératisation. Cette responsabilité s’applique également aux parties communes dans les immeubles, souvent infestées par les rongeurs.
Dans ces cas, une intervention rapide par un professionnel comme PARIS’GIENE est nécessaire pour préserver l’intégrité du bien immobilier et la sécurité des habitants. L’entreprise intervient alors directement pour établir un diagnostic et mettre en place des actions curatives et préventives, en conformité avec les normes locales.
Entretien général et prévention à la charge du propriétaire
La prévention fait aussi partie des devoirs du propriétaire. Des opérations régulières de dératisation dans les zones sensibles (vide sanitaire, locaux techniques…) doivent être programmées, notamment à Paris où des arrêtés municipaux rendent ces actions obligatoires.
Cas où la dératisation est à la charge du locataire

Responsabilité du locataire en cas de négligence ou d’hygiène défaillante
Le locataire est tenu d’assurer l’entretien courant du logement qu’il occupe. Si une infestation de rongeurs est provoquée par un manque d’hygiène (restes alimentaires laissés à l’air libre, poubelles mal gérées, encombrement…), la dératisation devient alors de sa responsabilité. Cette obligation découle du principe selon lequel l’occupant ne doit pas dégrader le bien mis à sa disposition ni nuire à la salubrité de l’habitat.
Dans ce cadre, si l’infestation résulte clairement d’un comportement négligent ou d’une absence d’entretien, c’est au locataire de faire appel à une entreprise spécialisée comme PARIS’GIENE, et d’en supporter les frais. L’entreprise propose des interventions ponctuelles discrètes et rapides, adaptées aux logements particuliers.
Obligation d’agir pour éviter l’aggravation de la situation
Même si l’infestation n’est pas de son fait, le locataire a l’obligation de signaler rapidement la présence de nuisibles à son propriétaire ou au gestionnaire du bien. Ce signalement permet d’organiser une intervention ciblée avant que le problème ne s’étende.
Dératisation : résumé des responsabilités locataire/propriétaire
La question de savoir qui est responsable de la dératisation d’un logement dépend avant tout de l’origine de l’infestation et du cadre juridique en vigueur. Si le problème relève d’un défaut structurel ou concerne les parties communes, c’est au propriétaire ou au syndic d’agir. En revanche, si l’infestation est due à un manque d’hygiène ou à une négligence de la part de l’occupant, le locataire en est responsable.
Dans tous les cas, la rapidité d’intervention est cruciale pour limiter les risques sanitaires et matériels. C’est pourquoi PARIS’GIENE propose des solutions de dératisation professionnelles, adaptées à chaque situation : diagnostics et traitements ciblés.
Pour éviter tout malentendu et assurer un environnement sain, il est recommandé de formaliser les obligations de chaque partie dès la signature du bail. Et en cas d’infestation, faites appel à un expert comme PARIS’GIENE pour une prise en charge rapide et conforme à la réglementation.
Contactez-nous dès maintenant pour une intervention ou un devis personnalisé.
Faites appel à nos experts !
Le débat sur la nécessité de tuer les frelons asiatiques est complexe et nécessite une réflexion approfondie sur les impacts écologiques, sociaux et économiques. Si l’éradication totale semble irréaliste, il est indéniable que des mesures de contrôle efficaces sont nécessaires pour limiter les nuisances et protéger la biodiversité, en particulier les abeilles. La lutte contre le frelon asiatique doit être conduite de manière responsable, en tenant compte des méthodes les plus adaptées pour chaque situation.
Dans ce contexte, des entreprises comme PARIS’GIENE jouent un rôle crucial dans la gestion des nuisibles. Grâce à notre expertise et à nos interventions ciblées, nous contribuons à maintenir l’équilibre écologique tout en assurant la sécurité des citoyens. La coopération entre experts, autorités locales et habitants est essentielle pour faire face à ce problème de manière durable et efficace.
Contactez-nous pour plus d’informations.